Dissection d’une lecture amoureuse
Au château, l’enfant « maudit » cause incendies, maladies et accidents mortels autour de lui. Rien ni personne ne lui résiste. Ce bâtard finira pourtant par devenir Charles de l’Éperai, l’héritier en titre.
Non loin de là, une enfant est abandonnée dans la forêt. Recueillie par une famille noble, elle grandit sous le nom de Judith de Monterlant.
Les destinées de ces deux êtres vont se croiser : ils s’attirent irrésistiblement. Amour et destruction, les amants s’égarent dans les méandres d’une passion dévorante. Judith se marie pourtant avec un autre. Et Charles, malgré son rang, prend le parti de la Révolution et du peuple.
1789 : le monde bascule et les nobles sont aux abois. Qu’adviendra-t-il de Charles et de Judith ?
Miel et Vin est un de ces premiers romans qui vous ébouriffe tant que vous vous demandez pourquoi vous vous êtes coiffée le matin vous n’avez jamais entendu parler de son auteur auparavant.
Je l’ai ouvert pour la première fois au début de l’été. J’ai adoré le grain de la couverture et son illustration puis l’ai rangé sagement sur ma PAL le temps de finir mes lectures en cours. Tandis que je dévorais Le cœur cousu de Carole Martinez (talonnée par mon escarpin…), je cherchais une deuxième lecture (je lis toujours deux livres en même temps, si vous voulez tout savoir) et l’ai sorti de la pile. Les premières pages étaient si prenantes que je me suis arrêtée tout de suite (impossible de lire deux livres aussi captivants en même temps !) et me suis rabattue (accrochez-vous bien…) sur un livre de régime (Ca calme les ardeurs littéraires, croyez-moi !) jusqu’à terminer Le Cœur cousu et le ranger à regret dans ma bibliothèque, le cœur aussi serré que le jour où j’ai quitté mon premier amoureux de camping (Vous savez, celui du camping de La Morue Salée !) à la fin des vacances.
Le Cœur cousu était un tel chef-d’œuvre que j’ai eu peur de ne plus apprécier la saveur d’aucun autre livre par la suite.
Voilà où j’en étais quand j’ai repris ma lecture des premières pages du premier roman de Myriam Chirousse, traductrice - entre autres - de Rosa Montero. Très vite, je me suis projetée dans l’histoire, le cœur battant la chamade pour Judith, me couchant bien souvent à point d’heure pour savoir ce qu’il allait advenir de sa relation avec Charles, trichant parfois en listant un chapitre entier en diagonale pour avoir la réponse puis revenant le lendemain sur ce même chapitre pour profiter des mots calmement car, dans Miel et Vin, il n’y a pas que le suspens et la passion qui nous emportent, il y a aussi les mots. L’écriture de Myriam Chirousse est un régal pour l’imagination et n’a rien à envier à Carole Martinez. J’étais tellement prise au jeu que, vers le dernier chapitre, soudain, je me suis souvenue d’une supposition que j’avais faite au début du livre en me disant « Mais bon sang ! Mais c’est bien sûr ! » mais Myriam a su déjouer mes attentes pour me livrer la seule fin à laquelle je n’aurais pu penser et pour ceci, et tout le reste, je la remercie.
« J’accepte aujourd’hui le bien-fondé de vos réserves. Je préfère m’abstenir de la fièvre de vous connaître mieux, de la douceur d’un instant que je devine déjà traître comme ce vin que nous buvions ensemble. Je ne vous ai dit qu’une seule vérité dans ce salon : mon envie de savourer les bonheurs de cette vie, car je crois qu’il y en a… Vous seriez un bonheur trop fort. Vous détruiriez tous les autres. »
Paraîtrait que le Livre de Poche sortirait une version “collector” des Hauts de Hurlevent pour Noël. affaire à suivre…
Anti-déprime
L’automne pointe le bout de son nez, les jours se mettent à raccourcir et vous commencez à déprimer ? Vous vous sentez fatiguées (oui les filles, c’est à vous que je parle, les hommes ne sont que très peu concernés), vous n’avez envie de rien, à part dormir et manger des sucreries… voire même de pleurer… sans aucune raison objective…
Rien de grave, vous êtes juste victimes de ce que l’on appelle un trouble affectif saisonnier. Parce que l’automne nous emmène vers l’hiver, le froid, la nuit et nous donne une forte envie d’hiberner, de voir moins de monde, de rester chez soi tranquille à regarder des DVD sous la couette en mangeant tout ce qu’il ne faudrait pas… Mais on n’est pas des bêtes ! C’est bien ça le problème : on doit continuer à travailler, à s’occuper des enfants et se mettre des coups de pied aux fesses pour faire du sport et socialiser un minimum si l’on veut que nos amis nous reconnaissent au printemps.
(Si vous dîtes que vous ne vous sentez pas concernées, je pleure…)
Scientifiquement, tout s’explique : le dynamisme et l’appétit dépendent de l’équilibre entre deux hormones : la mélatonine et la sérotonine. La mélatonine est fabriquée par le cerveau dès que la rétine l’informe qu’il y a moins de lumière. Or la mélatonine est élaborée en dégradant la sérotonine. C’est justement cette baisse brutale du taux de sérotonine qui peut nous rendre triste ou diminuer notre résistance au stress.
Comment lutter contre ce phénomène ?
En se faisant du bien ! Faites passer le massage ! Et pour ce faire, rien de mieux que de se concocter son cocktail anti-déprime. Allez, courage, on vous donne la recette !
La base (pour deux massages) : 30 ml d’huile végétale de millepertuis. Surnommé “herbe aux piqûres”, “chasse diable” ou “herbe de la Saint-Jean” parce qu’il vient à maturation au moment du solstice d’été, le millepertuis pousse au bord des chemins et lisières des forêts d’Europe et d’Asie Centrale. Au moment de sa récolte, les Romains le mettaient à macérer dans de l’huile végétale d’olive vierge. Après filtration, ce macérât huileux servait notamment à apaiser les douleurs des brûlures et calmer les bleus à l’âme.
Les plus : les huiles essentielles, trois en particulier, 5 gouttes de chaque pour en démultiplier les effets et profiter à fond de ce doux mélange d’arômes.
Oranger amer : elle calme, apaise, favorise le sommeil naturel et réparateur et aide à retrouver une énergie positive. Elle aide à se détendre et, cerise sur le gâteau, elle lutte contre la cellulite et raffermit la peau !
Mandarine : calmante et relaxante, elle est idéale pour éliminer le stress, détendre les nerfs et l’atmosphère. Elle fait l’effet du satin sur la peau et son parfum tout doux nous invite à tomber dans les bras de Morphée pour sombrer dans un sommeil réparateur.
Lavande : elle calme les stressés et insomniaques, apaise et détend les muscles et active la circulation sanguine pour nous donner un bon coup de fouet !
Et pour celles qui ont vraiment la flemme, optez pour la synergie équilibre ! 10 ml, 100 % huiles essentielles : nard pour calmer, lavande pour apaiser les nerfs et ravintsara pour ses vertus anti-fatigue nerveuse. De quoi vous aider à y voir plus clair dans votre tête ! À utiliser comme vous le sentez, quelques gouttes de ce doux mélange suffisent !
- En massage : diluez 10 gouttes de synergie concentration dans 15 ml d’huile végétale de millepertuis bio et retrouvez-vous… en bonne compagnie ! Avec vous-même ou idéalement avec un ami qui vous veut du bien…
- Dans le bain : plongez, inspirez, respirez, laissez cette synergie vous pénétrer par les voies cutanées et olfactives et profitez de ces odeurs délicieuses.
- En inhalation : déposez quelques gouttes sur un mouchoir que vous laisserez sur votre oreiller toute la nuit pour faire de beaux rêves.
- En fumigation : versez dans un bol 5 à 10 gouttes de synergie équilibre puis recouvrez d’1/4 de litre d’eau bouillante. Recouvrez votre tête d’une serviette éponge et inhalez les vapeurs pendant 5 à 10mns.
Tim & Tim on Sunday Evening
Juste pour le plaisir des yeux et de l’imaginaire, Tim Burton revisite la mode de cette saison sous l’objectif d’un de mes photographes préférés, Tim Walker, pour le Harper’s Bazaar.
Laissez-vous inspirer…
*Crédit photos: Tim Walker * Photo 1: manteau Salvatore Ferragamo/robe et chaussures Tao Comme Des Garçons/veste et gants Rodarte/pantalon Phi/bottes Nicholas Kirkwood pour Rodarte.///// Photo 2: robe Louis Vuitton/ceintures et bottes Gucci/robe de bal Jean-Paul Gaultier Atelier/escarpins Yves saint Laurent.///// Photo 3: top et gants Giorgio Armani/bodysuit Emilio cavallini/culotte Rigby & Peller/chaussures Yves Saint Laurent.///// Photo 4: vestes Jean-Paul Gaultier et Balmain/jupe Balmain/chaussures Nina Ricci/accessoire de tête Shona Heath.///// Photo 6: robe et chaussures Givenchy par Ricardo Tisci/chapeau Philip Treacy pour Alexander McQueen/collants Gerbe. ///// Photo 7: robe, soutien-gorge et culotte Dolce et Gabbana/gants Cornelia James/collants Wolford/chaussures Yves Saint Laurent.Sally et les Bagues-Monde
Sally Mugwats s’élança par-dessus la rambarde, arracha violemment le sac à main d’une opulente vieille dame qui promenait son caniche dans le parc et s’enfuit en zigzaguant entre les flaques d’eau et les voitures qui circulaient paresseusement ce matin-là. Une fois de l’autre côté de la route, elle remit son béret en place et se risqua à jeter un coup d’œil derrière elle. La pauvre dame, agitant ses bras comme un moulin à vent, venait d’interpeller un policier et regardait dans sa direction. Sans demander son reste, la fillette détala, tourna au coin de la rue et se faufila dans une ruelle sombre. Là, elle se tapit derrière un tas de poubelles nauséabondes. Il fallait absolument qu’elle la trouve…
Sans ménagement, elle déchira la fermeture à glissière du sac et répandit son contenu par terre. Un carnet, un tube de rouge à lèvres, une boîte de pastille à la menthe et trois porte-clés. C’était à peu près l’essentiel de son contenu, si on omettait évidemment le tas de papiers froissés et de mouchoirs usagés. Sally n’était pas surprise de voir un tel fourbis surgir du sac d’une dame aussi élégante. C’était souvent le cas avec les gens comme elle. Plus ils paraissaient riches, plus le contenu de leurs sacs était miteux. Un jour, elle était même tombée sur une fiole contenant des matières fécales. Elle avait bien failli la jeter mais le verre coûtait cher dans la cité. Elle l’avait alors ramenée à Monsieur Bragwell en espérant qu’il lui trouverait un quelconque intérêt.
Monsieur Bragwell était l’homme à qui il fallait tout vendre si on voulait avoir une chance de manger dans le quartier. Parfois, si on était vraiment compétent, il nous donnait des missions et nous remettait deux fois plus d’argent. C’est pour une de ces missions que Sally venait de dérober le sac de la dame qu’elle suivait depuis deux jours dans les quartiers chics de la ville. Monsieur Bragwell lui avait expliqué qu’elle transportait une bague très particulière qui valait plus d’argent que Sally ne pouvait imaginer. La jeune fille ne s’était pas fait prier.
Alors, qu’elle arrachait la doublure du sac, Sally entendit un coup de sifflet retentir à une vingtaine de mètres. Se glissant derrière une poubelle, elle continua de fouiller le sac, défroissa chaque papier et détendit chaque mouchoir avant de se rendre à l’évidence : il n’y avait pas de bague dans ce sac.
Vous devez vous dire “Non mais qu’est-ce qu’elle raconte là, la Flannie ?”. En fait, c’est un petit bout de brouillon d’une partie du puzzle que constitue l’histoire que j’écris avec Peter P, Winifred et toute la troupe. Un petit bout très, très légèrement inspiré par la découverte de cette créatrice de bijoux exceptionnelle, Matina Amanita, elle-même soeur de la non moins talentueuse créatrice de la marque de vêtements Sretsis. Les bagues que vous voyez ici sont issues de la collection Globetrotters de l’année dernière, des pièces démentes inspirées des monuments les plus célèbres au monde.
C’est tout pour aujourd’hui. J’avais juste envie de vous faire partager cette inspiration fantastique que peuvent nous communiquer certains artistes.
Bises, mes petits chaussons !
Un long dimanche pour petites canailles
Ceux qui n’ont encore jamais lu d’histoire* à deux fripons bavards ne savent pas à quel point conter est un art pas forcément à la portée de tous (et encore moins de moi certains jours)…
Démonstration audio… Enjoy !
*Le vilain gredin
Jeanne Willis et Tony Ross ont encore frappé dans une histoire au dénouement le plus surprenant. Un fort vilain petit lapin a déposé sur son lit une lettre à l’attention de ses parents dans laquelle il explique avoir rejoint le gang des Lapins de l’Enfer dans la décharge du Diable. Pourquoi ? Que s’est-il réellement passé ? Vous le découvrirez dans les dernières pages du livre et si, comme d’honnêtes parents que vous êtes, vous gardez en mémoire certains de vos bulletins scolaires, vous rirez autant que moi. ;-)
Un album pour les 7-8 ans à n’offrir qu’après réception des bulletins scolaires pour ne pas donner de mauvaises idées à certains… ;-)
Délectable, même quand les enfants sont déchaînés !
Des petits cahiers d’exercices adorables pour parents (et pas seulement…) qui veulent rester zen. Je me suis appliquée sur celui du Lâcher-prise en juin. Il m’a fait un bien fou tout l’été mais, là, je sens qu’il faut que je m’y remette
A mettre sur la table de chevet de tous les parents, futurs parents et profs de France et de Navarre. En plus, il ne fait pas de mal le relire de temps en temps:
Un petit tour sur le site du livre avant la prochaine réunion parents-professeurs …
La mode comme bouclier (à oeillets !)
Ca y est, c’est aujourd’hui qu’est lancée la nouvelle ligne de Christopher Kane pour Topshop. Je sais que certaines ici s’en tapent royalement le talon mais je voulais m’arrêter un peu quand même en cette période légèrement moisie de rentrée (Bon ok, je suis juste malade, il fait tout gris et je n’ai rien dormi…) pour saluer bien bas l’esprit de Topshop. Qu’un grand couturier collabore avec une marque comme Topshop, H&M, La redoute, Les 3 Suisses…, c’est toujours bon signe pour le porte-monnaie des fashionistas mais combien de ces collaborations gardent l’esprit même du couturier et osent de vrais défis ?
Cette fois, je suis ravie. Même si je ne saurais où caser mes petits bourrelets dans les robes « nues » de Christopher Kane, l’esprit est là, dans pas moins de 38 pièces, et à un prix Topshop. Bien sûr, la veste à œillets n’est déjà plus disponible mais reste que les coupes, les matières, les jeux de transparence, les œillets, un certain noir et les talons casse-gueule transpirent le talent de Kane et ça va faire un bien fou de voir défiler ses créations dans la rue même si Jalouse et Karl Lagerfeld nous parlent de « nouvelle modestie » pour la rentrée. La mode célèbre-t-elle « à nouveau une forme de silence » (Excellent article de Théodora Aspart) ? Espérons que non car, comme le disait Christian Dior lors d’une interview pour le Times en 1957, dans cette époque de « convention et d’uniformité, la mode est l’ultime refuge de l’humain, du personnel et de l’inimitable. Même les innovations les plus excentriques devraient être les bienvenues, ne serait-ce que parce qu’elles nous protègent contre ce qui est minable et routinier. »
Une histoire de lait…
Un petit clin d’oeil de Miette qui a avalé au moins trois verres de lait ce matin en posant gentiment pour illustrer le dernier test produit en date. Un moment simple, quelques rayons de soleil, des gouttes de lait, une séance de cache-cache derrière un gobelet… What else ? comme dirait notre petit George…
Juste parce que je suis amoureuse et qu’il écrit vraiment bien, je vous signale que son pôpâ a écrit une note pour l’escarpin aussi (C’est vraiment une affaire de famille, ce site…). Comment ça, je ne suis pas subtile ?!? Non mais, franchement !!!
Planning positif de rentrée… affaire à suivre !
Patrick Swayze est mort, Peter Falk est atteint d’Alzheimer, mon vieux voisin a encore essayé de se jeter par la fenêtre ce matin … Sinon, tout va bien, c’est la rentrée. Il fait gris, on a perdu 12 degrés en deux jours, j’ai des ganglions comme des balles de ping-pong. Le loyer augmente, l’électricité aussi, sans parler de nos abonnements aux transports en commun et la cantine… Les deux mots les plus tendance en ce septembre de m..de sont « crise » et « grippe ».
Croyez pas qu’il serait temps qu’on se booste le bulbe du bonheur ???
M’en vais rechercher mes jambières fluo* et on en reparle, mes petits chaussons…
*Sinon, j’achète celles-ci chez Topshop, question de survie…
Dirty Day…
Dirty Dancing - Final Dance Scene
envoyé par vanes2922. - Regardez plus de clips, en HD !
Câlinesse, Eclat du visage (vive l’automne…)
Brrr…. Il fait un froid de canard aujourd’hui !
Et dire que la semaine dernière encore on se faisait bronzer en terrasse le matin et on se cachait du soleil l’après-midi ! Aujourd’hui, c’est pull à col roulé et vent froid dans les oreilles. Pas de doute, l’automne est en train de pointer ses charmes… En plus, j’ai toujours le nez qui goutte et qui s’irrite de plus en plus. Abtchoum !
En ce glagla jour, je recommande à vos petites joues frigorifiées Eclat du visage de Câlinesse au lait d’ânesse. Une vraie caresse ! J’ai découvert cette marque Bio récemment et je la trouve idéale pour affronter les premiers frimas de l’automne. Douce, onctueuse, délicieusement parfumée, elle est parfaite pour ma peau sèche tout comme pour les frimousses de Cinqpommes et Miette. Composée de 15ml de lait d’ânesse[1] pour un pot de 50ml (d’où le nom de la marque Câlinesse), d’extraits d’Edelweiss bio, de plantain bio, de squalane naturel, d’huile de jojoba bio, d’huile de bourrache bio, de poudre de riz et d’eau de fleur d’oranger bio, elle laisse la peau hydratée, douce, comme reposée. Plus besoin de se trimbaler un troupeau d’ânesses aux fesses dans les rues de Paris ou de Navarre pour se prendre pour Cléopâtre.
Seuls bémols : ne pénètre pas instantanément et coûte assez cher (70 euros) mais la sensation de confort et le résultat à vue d’œil sont si agréables que je lui donnerais tout de même 10/10. Et les ailes de mon nez aussi. Abtchoum !
(Et non, ce n’est pas un article sponsorisé mais un vrai coup de cœur - ou de peau - ou encore de pot, ou peut-être même un peu des trois ;-))
Liste des points de vente ici
[1] Il est raconté que Cléopâtre en alimentait son bain ; les grecs le considéraient comme un excellent remède, les romains en faisaient une boisson de luxe et des produits de beauté… et moi qui, jusqu’à présent était un peu dubitative quant aux qualités du pain de savon au lait d’ânesse vient définitivement de changer d’avis grâce à cette crème.

